Des lignes à bâtir

Un vaste chantier

Des premiers sondages dans le sous-sol à l’inauguration, des années sont nécessaires à la construction et à l’équipement des lignes et des stations de métro. Outre les travaux en tant que tel, un chantier de cette envergure doit aussi composer avec des aléas parfois peu prévisibles, comme la sauvegarde de bâtiments historiques ou les revendications de riverains hostiles aux travaux.
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En hauteur

Le viaduc est présent sur les deux lignes de métro, totalisant un peu plus de 7 km de parcours. Il est mis en œuvre sur cinq lots, privilégiant les zones peu construites : le terminus de Saint-Philibert, celui du CHR de Lille, et la commune de Villeneuve-d’Ascq qu’il traverse à deux reprises. Bien qu’il s’agisse d’ouvrages avant tout technique, leur esthétisme et leur insertion dans l’environnement sont des critères de poids dans le choix des entreprises qui les ont conçus.
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Plongée souterraine

Sur l’ensemble des deux lignes, le VAL parcourt près de 35 kilomètres en souterrain. Certaines sections sont construites selon le principe de la tranchée couverte, qui s’exécute à ciel ouvert. Mais la majeure partie est creusée en tunnel pour limiter les perturbations dans les zones urbanisées, ce qui est plus coûteux et plus long à réaliser. De la ligne 1 à la ligne 2, les techniques évoluent, passant de la machine à attaque ponctuelle au tunnelier.
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