Le VAL s'exporte

Un métro qui rayonne

L’automatisme du système VAL suscite beaucoup de curiosité : la Communauté urbaine de Lille reçoit de nombreuses sollicitations de visites pour découvrir les arcanes du chantier, émanant de groupes d’horizons aussi divers que des collégiens ou des ministres étrangers. Dès les années 1970, MATRA envisage de vendre son système et participe à cette communication tout en poursuivant le développement de moyens de transport innovants.
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Ils ont choisi le VAL

Les efforts de MATRA pour diffuser le système VAL portent sur les agglomérations, mais aussi sur les aéroports et sites d’exposition qui paraissent des cibles appropriées pour ce petit métro automatique (même le parc Disneyland à Orlando a étudié la solution VAL !). Excepté celui de Lille, ce sont neuf VAL qui ont vu le jour sur les continents européen, américain et asiatique. Huit sont encore en service. Les plus récents sont ceux de Turin en Italie (2006) et d'Uijeongbu en Corée du Sud (2012).
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Des projets inaboutis

Finalement, relativement peu de VAL ont été exportés au regard de l’innovation du procédé et des avantages qu’il revendique. Pourtant, de nombreux contacts ont été noués et des projets ont commencé à se dessiner – à Annemasse, Rouen, Budapest, Barcelone, Bratislava, etc. - pour être finalement abandonnés. Dans plusieurs cas, le tramway a été préféré au métro automatique.
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