Puzzles

Envie de jouer ?

Les Archives vous proposent de découvrir de façon ludique quelques documents des fonds métropolitains avec des puzzles à la difficulté croissante : de 12 pièces pour les débutants jusqu’à 48 pour les plus aguerris.

Assemblez les pièces du puzzle en un minimum de temps ! Et si vous le souhaitez, enregistrez votre score et tentez d'être le plus rapide !

Transports - "allo tcc" - niveau facile














Le sigle « TCC », Transports en commun de la Communauté urbaine de Lille, est la marque commerciale, depuis 1983, pour les trois compagnies exploitant les transports de la Communauté urbaine de Lille : la Compagnie des transports lillois COTRALI, la Compagnie du métro de Lille COMELI et le Syndicat mixte d'exploitation des transports en commun de la Communauté urbaine de Lille.
L’un des buts des TCC est l’information du public pour favoriser l’utilisation des transports en commun. Ainsi, une structure permanente d’accueil et d’information de la clientèle est mise en place avec des centres situés aux nœuds d’échange des transports : place des Buisses à Lille dans la salle des billets de la station Métro Gares, à Villeneuve-d’Ascq dans la station de métro Hôtel de Ville, sur la Grand’Place de Roubaix et à la gare routière de Tourcoing ainsi qu’un autre centre au dépôt des tramways à Marcq-en-Barœul.
Ces centres sont tenus par des hôtesses afin de pouvoir répondre aux besoins des usagers avec distribution de documents d’information, guide du voyageur, guide du métro, fiches horaires. Ils assurent également la vente des tickets de transports ainsi que la confection des cartes d’abonnement. Le centre de Marcq-en-Barœul assure de plus le service des « objets trouvés ».
Un standard téléphonique « allo tcc » 98.50.50 est ouvert. Il permet pour l’usager d’obtenir sans avoir à se déplacer tous les renseignements sur les horaires, itinéraires, tarifs….
À cette occasion, outre les documents de communication classiques, des « goodies » sont fabriqués comme ce porte-clés spécial « allo tcc ».
Cote 11506 W 52823

Transports - "allo tcc" - niveau facile

Culture - Le musée d'art moderne et le public - niveau moyen














Le Musée d’art moderne, actuel LaM, de Villeneuve-d’Ascq ouvre ses portes en 1983. L’objectif des donateurs, Geneviève et Jean Masurel, est de «rendre accessible au plus grand nombre les œuvres d’art caractéristiques de notre temps, associer le public à la recherche permanente sur l’évolution de l’art moderne, favoriser la création d’œuvres d’art et promouvoir les activités de loisirs et de culture ». Ainsi dès son ouverture, une « politique d’animation » a été mise en place.
Lors de sa première année de fonctionnement, environ 10 000 élèves se rendent au musée, grâce à un partenariat avec le Rectorat de Lille et la présence d’un enseignant détaché. Il accueille également de 1983 à 1988, une association villeneuvoise, les Ateliers d'arts plastiques, proposant diverses animations grand public encadré par un conseiller technique et pédagogique en arts plastiques délégué par le ministère de la Jeunesse et des Sports.
En 1988, Joëlle Pijaudier-Cabot, nouvelle conservatrice en chef du musée crée un véritable service éducatif et culturel, avec pour mission de développer la production d'outils de médiation pour élargir et fidéliser les publics. Des ateliers, mêlant visite des salles et temps de création artistique sont lancés et existent encore aujourd’hui dans les propositions d’activités du Lam. Le public ciblé par ces activités sont les scolaires, les enfants des centres de loisirs, des publics spécifiques. Ces séances sont dirigées par l’équipe des guides du musée qui sont également chargés d'offrir des visites guidées du musée dans un format plus traditionnel.
Cette photo présente une classe qui arrive au musée pour suivre une animation dans les années 1990.
Cote document : 16 Ph 765

Culture - Le musée d'art moderne et le public - niveau moyen

Sport - Partenariat sportif avec le Lille Métropole-HBCV - niveau difficile














Au début des années 1990, il s’avère que participer au développement de secteurs comme le sport ou la culture devient la marque d’une Métropole attractive et dynamique. Ainsi, au budget primitif de 1991 de la Communauté urbaine de Lille est inscrite une ligne de crédits de 12,5 millions de francs sous l’intitulé « Fonds de promotion du sport de très haut niveau et des événements culturels » dont 10 millions seront affectés au sport.
La CUDL apporte ainsi son concours à des clubs sportifs du territoire qui, en contrepartie, s’engagent à « porter » l’image de marque de la Métropole. La délibération n°216 du 26 juin 1991 arrête la liste des clubs bénéficiaires ainsi que le montant du concours financier. Un million de francs est ainsi alloué aux club de handball de Villeneuve-d’Ascq et à celui du Lille Université Club qui fusionnent alors, en 1992, pour former le club métropolitain HBCV-LM, Handball club villeneuvois Lille Métropole.
Le 4 janvier 2010, l’association du HBCV-LM, dont le siège se situe salle Marcel Cerdan, rue des Comices à Villeneuve-d’Ascq, signe sa convention annuelle pour la nouvelle saison sportive avec Lille Métropole Communauté urbaine, LMCU. Elle s’engage sur plusieurs actions comme mener une politique d’animation locale et de formation vers les plus jeunes. En contrepartie de l’aide financière, elle porte aussi l’image de la Métropole en insérant Lille Métropole dans la dénomination du club qui devient « Lille Métropole HBCV » et en faisant apparaître le logo et le nom de l'établissement dans ses installations (panneaux, banderoles) ainsi que dans ses supports de communication. On peut donc voir sur cette affiche d’une rencontre du club contre l’équipe de Chartres le 23 janvier 2010 le logo « Lille Métropole Communauté urbaine ».
Pour la petite histoire, le club, lors de cette saison 2009-2010, évolue en Nationale 1 pour la deuxième année, mais après une saison difficile, il sera relégué en Nationale 2. Pour la saison 2022-2023, il évolue de nouveau en Nationale 1.
Cote document : 1095 W 20

Sport - Partenariat sportif avec le Lille Métropole-HBCV - niveau difficile