Au-delà de la technique, le métro a aussi inspiré des auteurs, exemple avec La dormeuse du Val, notre nouveau coup de cœur. Le monde sous-terrain du Val devient un terrain de jeu et permet à un monde imaginaire de prendre place.

La dormeuse du Val est un roman policier pour enfant (9 à 12 ans) d’Hélène Montardre publié en 1995 par Milan, éditeur jeunesse. Il est référencé dans notre bibliothèque historique sous la cote 1 C 1043.

Cet ouvrage se trouve dans les catalogues en ligne du Système Universitaire de Documentation (SUDOC), et de la Bibliothèque nationale de France (BNF).

Sur la couverture, une illustration de Thierry Christmann met en scène les deux personnages principaux, Flora et Aurélie. Elles se trouvent à l’arrière du bus 56 et sont habillées comme des détectives sous couverture lors d’une enquête. Les illustrations, à l'intérieur de l'ouvrage sont de Jean-Louis Tripp.

Après avoir trouvé un médaillon avec le portrait d’une jeune femme et une inscription mystérieuse, Aurélie et Flora vont se lancer à sa recherche pour lui rendre son bijou et trouver des réponses à leurs questions.

À travers cette enquête, les deux jeunes filles vont découvrir un nouveau monde dans cette ville qu’elles pensaient connaître. C’est le début de l’indépendance pour ces petites filles de 11 ans.

Cette œuvre a été réalisée dans le cadre du concours du comité organisateurs de la Journée du transport public qui a pour but d’inciter le public a plus utiliser les transports publics. Cet événement se déroule lors de la semaine européenne de la mobilité au mois de septembre.

Le titre La dormeuse du Val, est une référence au poème d’Arthur Rimbaud «Le dormeur du val». Le titre joue sur le double sens du mot Val pour les habitants de la métropole de Lille. Le val signifie vallée pour Rimbaud. Tandis que VAL est l’acronyme qui désigne le métro. Il a d’abord signifié Villeneuve-d’Ascq – Lille, puis  Véhicule Automatique Léger lorsque le système de ce métro unique a été utilisé à l’international.